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vendredi 27 mars 2009

Le Tantra (par Elle)


Quand je pense à cet endroit, j'ai toujours l'impression que la terrasse est ouverte sur la plage. Ce n'est pas exactement le cas. Il n'y a que le ciel et peut-être le bruit des vagues qui nous lient à la plage.

Ce soir-là, nous n'étions pas seuls, nous étions passés au Pharaon en début de soirée et avions rencontré là-bas un couple très sympa, lui beau brun prof d'histoire, elle d'ébène tout sourire, nous avait volontiers suivi jusqu'ici.
Autour d'une coupe de champagne, il faisait bon, on pouvait voir les étoiles, les gens étaient tous très souriants, des scènes coquines se déroulaient un peu partout, trois superbes filles se caressaient et s'embrassaient, un couple se prélassait sur le lit à baldaquin…

Quelques phrases, quelques œillades, et nous rejoignons le coin calin, celui qui n'est pas réservé au couples, l'endroit est plus spacieux et il y a encore des alcoves disponibles.
J'enlève mes chaussures et les laisse tomber au sol avant de grimper dans le nid.
Mon homme s'installe au fond avec elle. Nous, sur le bord, commençons à nous embrasser et nous caresser. Le fait qu'il soit prof m'excite beaucoup, je fais une fixation sur les métiers.
Après avoir largement embrassé mes seins, il descend vers mon sexe et relève mes cuisses très haut… Mmmmm
Je m'occupe ensuite de sa queue, la suce, la lèche longuement et finis par la caler entre ma poitrine, à ce point très précis où, serrant mes seins et faisant coulisser fermement sa verge, les hommes perdent tout contrôle.

Lorsque nous décidons de regagner le bar, nous écartons quelques voyeurs pour récupérer nos effets personnels. Le club est toujours aussi bondé, la musique agréable et pas assourdissante, le climat détendu, les sourires nombreux.
Nos amants du soir nous quittent alors, vue l'heure tardive.

Nous décidons de rester encore un peu tous les deux pour prendre un verre et profiter du cadre.
A la fin de la soirée, lorsque nous quittons le club, nous devons encore traverser tout le village pour regagner l'auto. Mes chaussures me font très mal aux pieds, je fais le bout de chemin pieds nus, mes sandales à la main…

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